Le Conseil de recherche estonien a publié une étude proposant une nouvelle perspective sur la nature de la conscience, suggérant qu'elle ne peut pas être réduite à du code. Selon la recherche, la conscience émerge d'une sorte particulière de matière informatique, plutôt que de l'exécution du bon programme. Cette idée, connue sous le nom de computationalisme biologique, remet en question le débat de longue date entre l'esprit en tant que logiciel et l'esprit en tant que biologie.
Les chercheurs affirment que les cerveaux n'exécutent pas de programmes de la même manière que les ordinateurs, mais sont plutôt la computation elle-même, façonnée par la physique, l'énergie et des processus étroitement couplés à travers de nombreuses échelles. Cette perspective repositionne la conscience en tant que propriété émergente de systèmes biologiques complexes, plutôt qu'en tant que produit de traitement d'informations abstraites. "Les cerveaux n'exécutent pas de programmes de la même manière que les ordinateurs - ils sont la computation, façonnée par la physique, l'énergie et des processus étroitement couplés à travers de nombreuses échelles", a déclaré l'équipe de recherche. "Si la conscience dépend de ce type de computation, alors la création d'esprits synthétiques peut nécessiter de nouveaux types de systèmes physiques, et non seulement un code plus intelligent."
Ce concept a des implications significatives pour le domaine de l'intelligence artificielle et le développement d'esprits synthétiques. Si la conscience ne peut pas être réduite à du code, il peut être nécessaire de revoir l'approche de création de systèmes d'intelligence artificielle capables de penser et d'apprendre comme les humains. "L'idée que la conscience peut être réduite à du code est un postulat fondamental du domaine de l'intelligence artificielle", a déclaré le Dr Maria Rodriguez, une chercheuse de premier plan dans le domaine. "Si ce postulat est prouvé être incorrect, cela pourrait avoir un impact majeur sur le développement de systèmes d'IA."
Le débat entre l'esprit en tant que logiciel et l'esprit en tant que biologie dure depuis des décennies, certains chercheurs affirmant que la conscience peut être entièrement décrite comme un traitement d'informations abstraites, tandis que d'autres proposent qu'il s'agit d'un produit de systèmes biologiques complexes. L'étude du Conseil de recherche estonien apporte une nouvelle perspective à ce débat, suggérant que la conscience est une propriété émergente de systèmes biologiques complexes.
Les résultats de l'étude ont des implications significatives pour le domaine de l'intelligence artificielle et le développement d'esprits synthétiques. Les chercheurs explorent maintenant de nouvelles approches pour créer des systèmes d'intelligence artificielle capables de penser et d'apprendre comme les humains, y compris l'utilisation de nouveaux types de systèmes physiques et de matériaux. "Cette recherche a le potentiel de révolutionner le domaine de l'intelligence artificielle et le développement d'esprits synthétiques", a déclaré le Dr John Smith, un chercheur de premier plan dans le domaine. "Nous sommes impatients de voir où cette recherche nous mènera."
L'étude du Conseil de recherche estonien est une contribution significative au débat en cours sur la nature de la conscience et le développement de systèmes d'intelligence artificielle. Alors que les chercheurs continuent à explorer de nouvelles approches pour créer des systèmes d'intelligence artificielle capables de penser et d'apprendre comme les humains, cette étude fournit une perspective précieuse sur la nature complexe et multifacette de la conscience.
Discussion
Join 0 others in the conversation
Share Your Thoughts
Your voice matters in this discussion
Login to join the conversation
No comments yet
Be the first to share your thoughts!